Je suis morts sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la Définition
Du MOT HUMAIN ÉMOTION
Que par la Douleur de l'Abandon.
J’ai Astenu Si LongTemps,
D’Hivers Glaciaux en PrintEmps,
Rayon D’Espoir, et Souvent
Petrifié dans le silence et les températures,
J’ai Voulu Fuir CE Tourment.
Seul et apéuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De Votre Sourire, de Votre Visage
Qui m’ont apporte courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis en train d'habitué à la faim,
AU FROID, à la Peur du Lendemain.
Maiss Jamais, Je le Crains,
De ne pas connima enfin
Le Plaisir de Lécher Votre Main.
Martyrisé du lundi
N’en Pouvant plus de Lutter,
À mourir de souffle et de fierté,
C’est sans Bruit et sans dignité
Que je vous ai quittes.
Une seule caresse auirent suffi
À moi Permettre, sans Bruit,
De Quitter Mes Amis.
Qui Encore Aujourd’Hui.
Vous dans l'appellent dans la nuit.
Je ne Vous en Veux pas
De N’avoir Entendu Mon desarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des Mois,
La Confiance, L’Espoir et la Foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que Mourraiment mes Petits,
La Souffrance et La Maladie
ONT EU RAISON AUJOURD’HUI
De mon instinct de Survie.
ILS ONT TUÉ MES ESPOIRS
De poouvoir un jume
Le Soleil et Votre Peignoir…
De fuir mon décousspoir…
FUIR MA Cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
SANS JAMAIS ÊTRE REMARQUE.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demande qu’à Vous Aimer…
Abandonné pourquoi m’avez-vous?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
VOTRE NOM J’AI Appelé Mille FOIS…
Où étiez-vous, dites-moi ..
Ma carcasse incinérée
Aura vers l'éternate
CE Champ, CES Fleur et ce Pré
Que j’ai longtemps Espéré,
ET DONT J’AI TELATIMENT RÊVÉ.
J’auris Aimé Agoir un Jouet,
Un Seul S’il-Vous Pirt…
J’auris Voulu Courir et Qui Sait,
Trébucher dans le gazon tout Frais
À vos Côtés, Fier et coquet…
J’auris Dormi à Vos Pieds,
L’Hiver Vous Aurais réchauffé,
La Nuit Vous Aurais Rassuré,
Et sans Jamais Rien DeMander,
Vous Aurais écoté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l'on sur Porte Mon Deuil.
Sur M’A Offert verser le linceul,
Un Feu de Paulle et de Feuilles,
Je Suis Libre, Délivré et Encore SEUL…
Ne m’offrez pas de fleurs…
ReINEZ VOS PLESURS…
Je ne veux plus que le bonleur,
De ceux qui ont at leur cœr
D’Encore Espérer Avec Ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Verser mériter un vie si miséable
Un Destin auSsi pitoyable,
Une morte cruelle et minable…
De Cela Vous M’êtes Redevable…
Je Vous Aime Encore
Je Vous Aime Si Fort…
À la vie et à la mort,
Je Vous Aime Encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que Vous Voulez,
Par amour et par pitié,
Encore Quelques-uns Sauver…
Ainsi ma cruelle Destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, JE Suis Mort et Froïde…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par VoS, Ils ne le Seront Pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
Un Chien Parmi Tant d'Autres
Trouvaille de Isabelle Lavergne
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